Écrit comme une fiction relatant le parcours mouvementé de Bill Palmer, fraîchement promu directeur de l’IT, The Phoenix Project nous plonge littéralement au coeur d’un projet en péril. 90 jours pour relever la tête, soit autant de jours pour apprendre, découvrir les principes du Lean, Kanban, ou encore Devops.
Il fallait oser adopter ce style d’écriture qui fait le succès de The Goal du Dr. Eliyahu Goldratt mais le résultat n’en est que plus réussi. Rarement un livre informatique aura été aussi divertissant. Difficile de le poser sans l’avoir achever. On s’attache à Bill, on écoute attentivement les conseils d’Erik (le gourou) mais par dessus tout, on peine tant bien que mal pour ne pas étranger cette satanée Sarah (la méchante), qui ne cesse de nous mettre des bâtons dans les roues.
Pas question de dévoiler pas la fin mais au final, juste un petit reproche les actions entreprises par Bill sont trop souvent couronnées de succès. Sur ce point, les auteurs ne parviennent pas à mettre en avant l’importance d’expérimenter au risque de faire pire, d’échouer rapidement, apprendre pour mieux rebondir. Cela n’enlève en rien les qualités indéniables de l’ouvrage.
En définitive, The Phoenix Project est un excellent livre pour tous ceux et celles qui travaillent au sein ou avec l’IT. Une nouvelle aussi divertissante qu’instructive. Une bouffée d’air débordant d’idées à essayer sans plus attendre.
Review
Écrit comme une fiction relatant le parcours mouvementé de Bill Palmer, fraîchement promu directeur de l’IT, The Phoenix Project nous plonge littéralement au coeur d’un projet en péril. 90 jours pour relever la tête, soit autant de jours pour apprendre, découvrir les principes du Lean, Kanban, ou encore Devops.
Il fallait oser adopter ce style d’écriture qui fait le succès de The Goal du Dr. Eliyahu Goldratt mais le résultat n’en est que plus réussi. Rarement un livre informatique aura été aussi divertissant. Difficile de le poser sans l’avoir achever. On s’attache à Bill, on écoute attentivement les conseils d’Erik (le gourou) mais par dessus tout, on peine tant bien que mal pour ne pas étranger cette satanée Sarah (la méchante), qui ne cesse de nous mettre des bâtons dans les roues.
Pas question de dévoiler pas la fin mais au final, juste un petit reproche les actions entreprises par Bill sont trop souvent couronnées de succès. Sur ce point, les auteurs ne parviennent pas à mettre en avant l’importance d’expérimenter au risque de faire pire, d’échouer rapidement, apprendre pour mieux rebondir. Cela n’enlève en rien les qualités indéniables de l’ouvrage.
En définitive, The Phoenix Project est un excellent livre pour tous ceux et celles qui travaillent au sein ou avec l’IT. Une nouvelle aussi divertissante qu’instructive. Une bouffée d’air débordant d’idées à essayer sans plus attendre.